Pour info : La journaliste qui a révélé cette affaire a été mise en garde à vue par la DGSI.
Version courte :
- L’Égypte demande de l’aide en terme de renseignement pour couvrir ses 1200 km de frontière avec la Libye ou le trafic fait rage.
- Le renseignement français dit ce qu’elle voit.
- L’Armée Égyptienne traduit « j’ai vu » par « cible détecté », envoi la purée.
- C’est des civils…
- C’est trop la honte.
- La France couvre.
- La journaliste Ariane Lavrilleux fait son boulot et révèle l’affaire.
- C’est décidément trop la honte.
- La DGSI la fout en GAV…
Je tiens ici à remercier la DGSI pour son travail de communication, qui m’a permis d’être mis au courant de ces articles.