@zoe >en plus on essaie d’importer des légumes de l’Afrique surtout les légumes consommatricess d’eau genre tomate et fruits genre agrumes pour externaliser le risque d’épuisement des nappes d’eau fraîche à ces pays, tant que le coût de transport le permette bien sûr …
Ça c’est pas une question d’eau. C’est le marché et politique. Ça a des effets délétère : on est obligé de suivre ces prix bas en rognant nos marges.
Ça c’est pas une question d’eau. C’est le marché et politique. Ça a des effets délétère : on est obligé de suivre ces prix bas en rognant nos marges.
je peux argumenter que si on était remuneré convenablement, on aurait pas dû être obligé à chercher des mesures pour diminuer les coûts. Si il y a un élement qui avait vraiement un effet délètere sur toute cette chaîne, ce serait les capitalistes et les chefs d’entreprise
La difficulté est celle ci :
Si j’augmente le prix de vente de mes légumes, je prive les pauvres d’une alimentation de bonne qualité. Si je baisse, je n’ai plus rien pour vivre, ni développer mon activité et avoir un fond de trésorie.
Et c’est pour ça que je crois fermement à la sécurité sociale alimentaire. Notre gagne-pain doit etre désolidarisé de la production (aléa climatique+marché) et offrir une nourriture accessible à tous et toutes.
C’est à dire etre correctement rénuméré et proposé des prix bas, voire nul sur la base des SPG, convention : respect environnement, humain, circuit court.
@zoe >en plus on essaie d’importer des légumes de l’Afrique surtout les légumes consommatricess d’eau genre tomate et fruits genre agrumes pour externaliser le risque d’épuisement des nappes d’eau fraîche à ces pays, tant que le coût de transport le permette bien sûr …
Ça c’est pas une question d’eau. C’est le marché et politique. Ça a des effets délétère : on est obligé de suivre ces prix bas en rognant nos marges.
je peux argumenter que si on était remuneré convenablement, on aurait pas dû être obligé à chercher des mesures pour diminuer les coûts. Si il y a un élement qui avait vraiement un effet délètere sur toute cette chaîne, ce serait les capitalistes et les chefs d’entreprise
La difficulté est celle ci : Si j’augmente le prix de vente de mes légumes, je prive les pauvres d’une alimentation de bonne qualité. Si je baisse, je n’ai plus rien pour vivre, ni développer mon activité et avoir un fond de trésorie.
Et c’est pour ça que je crois fermement à la sécurité sociale alimentaire. Notre gagne-pain doit etre désolidarisé de la production (aléa climatique+marché) et offrir une nourriture accessible à tous et toutes.
C’est à dire etre correctement rénuméré et proposé des prix bas, voire nul sur la base des SPG, convention : respect environnement, humain, circuit court.